Je profite de la publication d'un post sur la page Facebook de CYLISME en Limousin pour clarifier l'édition 1987 du Bol d'Or des Monédières à Chaumeil (Corrèze).
Cette année là, le Bol d'Or créé par Jean Ségurel n'a pas été organisé mais il a été remplacé par l'arrivée de la onzième étape du Tour.
Pour les connaisseurs, c'est une chose entendue, malheureusement plusieurs magazines peu ou mal informés donnent Martial Gayant comme vainqueur du Bol d'Or 87. C'est une erreur et cette étape Poitiers-Chaumeil a été marquée par le coup de force du grand Martial, habillé de Jaune par Bernadette Chirac.
Suite à un article paru en mai dernier et dans lequel je faisais allusion à l’existence d’un vélodrome dans la cité thermale de La Bourboule, de nombreux archivistes très pointilleux se sont déplacés pour admirer ces vestiges d’une autre époque et d’autres ne cessent de me demander des renseignements complémentaires. Malgré des démarches auprès de la mairie, je n’ai jamais réussi à avoir d’autres éléments (année d’inauguration, grands événements …)
Seule la consultation de journaux d’époque pourrait me donner des indications. Je suis remonté jusqu’à l’année 1909 sans trouver une seule trace. Mais comme c’était à une époque où les pistes cyclistes (terre ou bois) étaient très nombreuses !
J’ai retrouvé deux photos prises par mes soins, elles sont de piètre qualité mais confirment bien l’existence de cette enceinte qui, par la suite, était devenue un stade hippique.
Le vélodrome des Ormeaux à Clermont-Ferrand - Le blog du cyclisme en Auvergne Limousin
Photos provenant du Fonds du Patrimoine Sportif Auvergnat. Le vélodrome des Ormeaux était situé à l'angle des rues Poncillon et Charles Bruyant, à l'emplacement de l'actuel Stade universitaire...
http://veloquercy.over-blog.com/2024/05/le-velodrome-des-ormeaux-a-clermont-ferrand.html
On annule beaucoup actuellement sur les routes du comité et sur celles des comités limitrophes, soit que les autorisations soient refusées, soit que les garanties financières ne soient pas réunies ou que le nombre de coureurs engagés soit insuffisant.
C'est ainsi que le Tour des Landes qui devait se disputer cette fin de semaine est annulé tout comme le Prix du Pays de Saint-Pourçain (09/08), la course Elite de Corme-Royal (24/08), le chrono de l'Espigoulier à Gémenos (31/08, le Critérium de la fête des foins à Montfavet (23/08), les épreuves d'Isle-sur-la-Sorgue (24/08), le Prix de Rumilly (25/08), les Prix de Saint-Ouen, Anet et Augy en Région Centre Val de Loire.
La suite et de nombreuses photos sont en ligne sur : https://www.leprogres.fr/sport/2024/08/17/il-y-a-50-ans-bernard-thevenet-remportait-le-criterium-de-bussieres
La Loire dans le rétro. Il y a 50 ans, Bernard Thévenet remportait le Critérium de Bussières
Le Bourguignon s'était imposé dans le Roannais le 19 août 1974, succédant ainsi au palmarès de l'épreuve à Raymond Poulidor.
Mercredi, Dylan van Baarle rejoindra l'équipe cycliste néerlandaise qui participera à la course sur route samedi. Dimanche dernier, Van Baarle a pu célébrer le succès en VTT de sa compagne Pauline Ferrand-Prévot en hauteur à Tignes . Ensemble, ils se sont entraînés dur dans les Hautes-Alpes ces dernières semaines pour participer sous une forme optimale aux Jeux Olympiques de Paris.
"Dylan compte tellement pour moi", poursuit la Française. « Je tiens à le remercier pour tout ce qu'il a fait pour moi à l'approche des Jeux Olympiques. Dans les semaines qui ont précédé cet événement, nous nous sommes entraînés très dur ensemble en altitude à Tignes et il a certainement veillé à ce que je puisse atteindre ce haut niveau. Je partage cet or avec lui.
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Source : Het Nieuwsblad
Dans le passé, les Jeux Olympiques n'avaient qu'un prestige limité dans le cyclisme, mais aujourd'hui c'est complètement différent. Plusieurs coureurs de haut niveau ont cette fois fait de la course sur route un objectif majeur. Le champion du monde Mathieu van der Poel fait partie de ces meilleurs joueurs . Le Néerlandais peut-il remporter l'or à Paris ? Ou le bloc belge fort mettra-t-il un terme à cela ?
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Samedi 3 août, course olympique sur route : Paris – Paris (273 km)
Le signal de départ retentira dans le quartier du Trocadéro, près de la Tour Eiffel. Après une neutralisation le long de la Seine, les coureurs sont libérés à Paris. Dans un premier temps, une boucle d’environ deux cents kilomètres les attend, principalement au sud-ouest de la ville. Il y a un total de dix ascensions catégorisées dans ce grand tour. Ces pentes ne sont ni très raides ni très longues, mais elles deviendront certainement difficiles à long terme.
Surtout entre les kilomètres 165 et 205, tout le monde sera sur le pont. Les pilotes devront choisir parmi six côtes en quarante kilomètres. Par la Côte de Senlisse (1,3 km à 5,3%), la Côte d'Herbouvilliers (850 mètres à 5,7%), la Côte de Saint-Rémy-lès-Chevreuse (1,3 km à 6,3%), la Côte de Châteaufort (900 mètres à 5,7 %), Côte de Bièvres (1,2 km à 6,5 %) et Côte du Pavé des Gardes (1,3 km à 6,5 %), les coureurs rentrent à Paris.
La finale se déroule dans le quartier de Montmartre, où de grands peintres comme Henri Matisse, Vincent van Gogh et Pablo Picasso ont vécu et travaillé autrefois. Les coureurs peuvent désormais montrer leurs compétences sur un circuit urbain de 18,4 kilomètres de long, qui doit être parcouru deux fois et demie. Le parcours comporte plusieurs pentes, mais le lieu à attaquer est la Butte Montmartre. Cette montée pavée vers le Sacré-Cœur est longue d'un kilomètre et présente une pente moyenne de 6,5 %.
Lorsque la Butte Montmartre est gravie pour la troisième et dernière fois, les coureurs ont encore 9,5 kilomètres d'avance. La descente commence d'abord vers la Seine. Puis il longe l'eau en direction du Pont d'Iéna, situé à l'ombre de la Tour Eiffel. La ligne d'arrivée a été tracée sur ce pont, nommé d'après la bataille d'Iéna remportée par Napoléon en 1806. Qui se couronnera ici empereur de la race ?
Départ : 11h
Arrivée : entre 18h et 18h30
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Source Het Nieuwsblad