Ce reportage sur Gérard Ondet vous est proposé par Patrick Dorkel "As du Cyclisme"
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De la grande équipe de l’Amicale Cycliste Clermontoise des années 70, Gérard Ondet en constituait un élément primordial. Solide rouleur, à l’aise sur tous les terrains, il remportait bon an, mal an entre sept à dix courses par saison. Après l’arrêt de sa carrière cycliste à 25 ans, sans avoir atteint sa maturité physique, Gérard Ondet n’a jamais quitté le monde du vélo. C’est ce parcours atypique que nous vous proposons de suivre à travers cette interview.
Avant de passer à ta propre carrière, il serait bon d’évoquer la mémoire de ton père François Ondet, acteur du Tour de France.
(Me montrant un couteau entièrement nacré). Voilà ce que les organisateurs offraient aux coureurs terminant le Tour dans les années 30. Mon père, né en 1902 près de Laschamp (63), a disputé deux éditions de la Grande Boucle, 1929 (55e) et 1930 (28e). En 1930, il s’est classé dans le top 10 des six premières étapes disputées en Normandie, Bretagne et Vendée car c’était un solide rouleur. Le Tour il en parlait fort peu, pour ne pas dire jamais à l’exception lors de retrouvailles avec quelques anciens comme Vietto lorsque nous sommes allés lui rendre visite dans le midi.
Il disputait aussi des six jours, je sais qu’il a remporté de nombreuses courses (200) par son excellente pointe de vitesse. Il a connu une fin tragique. En 1968, à l’âge de 65 ans il effectuait un séjour à Cambrils en Catalogne. Après avoir fait une sortie de 80 bornes, en plein mois d’août, il a voulu se rafraîchir dans la mer, il a été victime d’une hydrocution fatale. Nous n’avons jamais pu rapatrier son corps. L’Espagne du Général Franco ne nous a pas permi de le faire.
Lorsqu’il a arrêté sa carrière, il était commercial, compte tenu de sa notoriété. Il vendait du matériel direct d’usine. En France à cette époque-là il y avait une multitude de fabricants d’accessoires de vélo : Mafac, Simplex, Maillard... Il était multi-cartes, il alimentait les nombreux marchands de cycles qui jalonnaient villes et villages.
D’où es-tu originaire ?
Je suis né le 2 février 1946 à Saint-Etienne où mon père était grossiste en cycles. J’y suis resté juqu’à l’âge de 20 ans. J’ai commencé ma carrière à 17 ans en 1963 à l’UC Saint-Etienne avec Paul Ravel (ex-pro) comme camarade de club. J’avais pour adversaires Joël Bernard, les frères Seyve, Grange, Fayard, tous des gars qui marchaient et nous n’étions pas loin de Lyon. Comme en foot, la rivalité était légendaire.
Lorsque j’étais gamin, j’avais une dizaine d’années, après les six jours de Saint-Etienne, j’ai assisté à un repas avec Fausto Coppi, Roger Hassenforder, Raphaël Géminiani… tout le gratin de l’époque.
Comment se sont passées tes premières course ?
La première année ce n’était pas terrible. La deuxième saison ça commençait à aller mieux, puis les choses se sont améliorées au fil des ans. Mon père me laissait plutôt faire. J’aurais bien aimer qu’il me conseille un peu plus mais le cyclisme des années 30 et des années 60/70 n’avaient plus rien à voir. 1,78 m pour 64 kg, je passais partout. J’ai gagné quelques courses en Auvergne sous le maillot de Saint-Etienne. J’ai porté un maillot collector dans ces années-là. Roger Rivière (double recordman de l’heure qui avait dramatiquement arrêté sa carrière dans le Tour 60 suite à une chute) avait recruté six coureurs. Nous portions un maillot aux couleurs de Saint-Raphaël frappé du sigle le Vigorelli sur la partie blanche (vélodrome légendaire qui abrite aujourd’hui des matchs de football américain). Le Vigorelli c’était aussi la brasserie de Roger Rivière en plein centre de Saint-Etienne, en mémoire de deux records de l’heure qu’il avait battu sur cette piste.
Tu viens ensuite en Auvergne.
Lorsque mes parents reviennent en Auvergne, je me licencie à l’Amicale Cycliste Clermontoise. Mon père connaissait tout le monde, il retrouvait des amis de longue date. Je commençais à bien marcher, je gagnais mes dix courses dans l’année et j’ai un nombre de places d’honneurs incalculables pourtant j’allais vite au sprint, mais il y a avait toujours un Yvon Verne, un Fernand Farges ou un Jean-Claude Beau pour me souffler la victoire.
Le club c’était le Team Pro Immo d’aujourd’hui avec : Gérard Fiacre, Daniel Barbry, Dédé Champion, Charly Vallet puis ensuite Paul Ravel, Roland Hiret…
Nous avons exigé que le club se structure un peu plus. On voyait bien que nos adversaires étaient mieux encadrés. Nos dirigeants avec le père Moine, c’était encore la vieille école qui datait du temps de la guerre avec Emile Coulaudon (Colonel Gaspard du temps de la résistance), Bourdier le marchand de cycles... Nous, on arrivait chacun dans notre voiture… Si on voulait disputer de grandes courses, il fallait bouger et faire évoluer le club. Lassé, en 1970 j’ai quitté le club pour aller à Saint-Pourçain.
La seule année où l’on a été bien encadré c’est lorsque Gem est venu (radié comme DS par l’UCI après le record de l’heure d’Anquetil controversé, en 1967). Il est venu avec Gustou (Jean Chappat mécanicien d’Anquetil, de Poulidor, de l’équipe de France…)
Quelles sont les grandes courses que tu as disputées ?
J’ai disputé la Route de France, Le Tour du Roussillon, le Tour du Limousin, le Nivernais-Morvan, le Tour du Loir-et-Cher, le Tour de Corrèze, le Tour des Combrailles, Paris-Saint-Pourçain… J’ai fait une bonne route de France en 1967 (15e) qui se disputait en Corse. J’ai découvert un coureur exceptionnel : Derek Harrison (pro de 67 à 74). Il n’a pas réellement confirmé suite à une chute qui lui a occasionné une grave blessure au genou. Sa carrière pro a été en demi-teinte. Il partait à trois bornes de l’arrivée, tout le peloton en chasse derrière, personne ne rentrait.
J’ai participé à plusieurs Championnats de France individuels et par équipes. En individuel nos performances n’ont jamais été à la hauteur ; je crois que l’on courait sans s’occuper des copains, on ne formait pas une véritable équipe.
Et tes plus belles victoires ?
Je me souviens d’une course disputée à Messeix. On s’est tous engueulé au départ entre coureurs de l’ACC ! Personne n’arrivait à se mettre d’accord pour former une coalition capable de remporter la course. Je me suis retrouvé en tête avec Mariano Martinez (Maillot à Pois du Tour 1978) et Jean-Pierre Parenteau (pro de 1969 à 1976) l’un des meilleurs amateurs français. Au fil des kilomètres Mariano a sauté, puis Parenteau me demande de l’attendre en haut d’une bosse, ce que j’ai fait. Le Tour d’après je suis parti seul. Sur le papier vainqueur à Messeix peut faire sourire, mais ce jour-là j’ai gagné devant deux sérieux clients.
J’ai porté le maillot de leader du Tour du Roussillon, je bâche dans la dernière étape, je suis battu par Francis Duteil.
Je me suis retrouvé Champion d’Auvergne seniors en 1967 car le vainqueur était un junior Daniel Domin de Saint-Pourçain. En 1969 je suis échappé en solitaire, Bernard Giraud du même club que moi me rejoint à un kilomètre de l’arrivée et me bat au sprint… En 1966 je termine 4e des Championnats de France universitaires à Reims.
Tu as arrêté ta carrière de bonne heure, pourquoi ?
Les cycles Gitane cherchaient un commercial pour notre région. Ils me demandent d’être opérationnel pour janvier 1972. Pour moi, cela voulait dire l’arrêt de la compétition. J’avais repris l’affaire à mon père après son décès mais ce système de vente de matériel d’usine, on commençait à en voir le bout.
En tant que Chef de Produits, il a fallu parfois faire preuve de diplomatie. A Aurillac les deux marchands de vélos, René Pouget et Fernand Farges, qui avaient été adversaires en course, ne se parlaient plus. L’un vendait du Peugeot, l’autre du Gitane. Je les ai réuni au restaurant leur disant qu’il y aurait aussi un invité sans mentionné leur nom. Lorsqu’ils se sont trouvés face à face, ils ont un peu tiqué. Ils avaient un commerce chacun à l’autre bout d’Aurillac, finalement nous avons trouvé un terrain d’entente, les choses se sont ensuite mieux passées.
Pouvais-tu te faire une place chez les pros en poursuivant ta carrière ?
Je regardais autour de moi et je voyais des Paul Ravel, Pierre Rivory, Jean-Claude Beau, Noël Geneste, Christian Blain passer pros ; ils gagnaient le SMIC ! Pourtant c’était des gars qui marchaient. Je ne vois pas pourquoi j’aurais fait mieux. Passer pro pour un contrat aléatoire... je ne voulais pas quitter mon travail ; j’ai privilégié ma carrière professionnelle. Le seul qui a concrétisé c’est Bernard Thévenet. Déjà chez les amateurs, c’était un sacré client.
Comment as-tu évolué dans ta vie professionnelle ?
A Clermont-Fd le magasin Gitane, avenue de la Libération, était tenu par José Baeza. Les coureurs avaient des contrats pour chaque victoire. Je ne souhaitais pas m’en occuper, je ne voulais plus me mêler de partages des prix. Puis Gitane a souhaité vendre des vélos dans les super-marchés sous la marque Guimard. On ne touchait plus la même clientèle. En 1988, j’ai démissionné pour partir chez Raleigh, marque anglaise. C’était un importateur qui a également pris la marque Bianchi. A ce moment-là j’étais Chef des ventes France. En me rendant en Italie chez Bianchi, j’ai fait la connaissance de Felice Gimondi.
Le groupe Gitane-Peugeot a racheté les deux marques sous le nom de Cycles-Europe. Donc je me suis retrouvé vingt ans en arrière. La société a licencié tout le monde sauf deux personnes ; j’ai été nommé à Romilly-sur-Seine. Je suis devenu Chef de Produits. Il fallait mettre en place une gamme de vélos. On décidait d’équiper, pièce par pièce, tel vélo sous la marque Gitane, Bianchi…
Puis après j’ai évolué comme Responsable de la Communication. Il a fallu faire la connaissance des journalistes, des équipes pros et amateurs qui étaient sous contrat. Je me suis occupé de la Française des Jeux pendant un an et demi.
Quel regard portes-tu sur le vélo d’aujourd’hui ?
Je suis un peu les courses régionales mais discrètement ; j’ai dû changer personne ne me reconnaît. J’étais à l’Atria Charade au mois de mai. A la télé je ne manque pas les grands Tours et les grandes classiques. Ce que j’ai vu du Tour de France, du Giro et de la Vuelta, je suis admiratif ! Le vélo réunit tous les pays du monde ce que l’on ne voit pas dans le rugby, par exemple. Je regrette le peu d’écho dans la presse régionale. Je ne critique pas les autres sports mais le vélo c’est vraiment le parent pauvre.
Au niveau Auvergnat on est plutôt bien loti avec : Julian Alaphilippe (Montluçonnais d’adoption), Romain Bardet et Rémi Cavagna.
Pour terminer l’interview raconte-nous une anecdote amusante survenue au cours de ta carrière.
Pendant nos sorties d’entraînement, on avait inauguré, à Saint-Etienne, un classement aux pancartes à chaque entrée de village. A mi-parcours, on s’arrêtait dans une boulangerie et le plus mal classé payait un surplus. Cela donnait un peu plus d’intérêt à notre préparation.
Gérard Ondet est retiré aujourd’hui à Chamalières. A l’occasion, il revoit quelques coureurs de sa génération : Jean Planeix, Paul Ravel… Il a conservé quelques coupures de journaux avec ses meilleures performances mais comme bien des coureurs des années 60/70 les photos sont rares. Je revois, comme si c’était hier, Gérard Ondet en 1970 à Beaumont au Prix des Cornards. Il s’était échauffé comme jamais… Il est parti au départ puis a doublé tous les concurrents...(octobre 2019)
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Quelques lignes du palmarès de Gérard Ondet
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1965 = UC Saint-Etienne
04/07 : 1er à Messeix (63)
14/07 : 2ème à Vic-le-Comte (63) 1er : Jean-Claude Baud
02/08 : 1er à Saint-Germain-Lembron (63) devant Jacques Kammer
14/08 : 2ème à Gelles (63) 1er : Jean-Claude Theillière
15/08 : 3ème à La Chapelle-Laurent (15) 1er : Lucien Gonthier
22/08 : 1er à Blot-l’Eglise (63)
29/08 : 3ème à Saint-Amant-Roche-Savine (63) 1er : Yvon Verne
06/09 : 3ème à Condat-en-Féniers (15) 1er : Jacky Huiart
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1966 = UC Saint-Etienne
30/05 : 4ème du championnat de France ASSU
02/07 : 3ème à Nohanent (63) 1er : Noël Geneste
29/08 : 1er à Saint-Genès-Champespe (63) devant Raymond Grimal et Georges Extrat
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1967 = AC Clermontoise
23/04 : 3ème Circuit de la Gardache à Annonay (07)
04/05 : 2ème « Ascension » à la gare de Saignes (15) 1er : Claude Perrotin
15/05 : 2ème à Saint-Amant-Tallende (63) 1er : Georges Extrat
11/06 : 1er championnat Auvergne sociétés avec l’ACC (Darne, Grimal, Barbry, Fiacre)
25/06 : 2ème du scratch du championnat d’Auvergne sur route remporté par l’amateur junior Daniel Domin
: 1er des amateurs seniors
01/07 : 2ème à Nohanent (63) 1er : Gérard Fiacre
09/07 : 3ème du Critérium d’Auvergne à l’Hôpital-Ydes (15) 1er : Marcel Ferri
10/07 : 1er à Egliseneuve d’Entraigues (63) devant Georges Extrat et Gérard Fiacre
24/07 : 1er à Châteaugay (63) devant Ferdinand Julien et Michel Roudier
06/08 : 1er à Messeix (63) devant Lucien Gonthier
13/08 : 3ème à Saint-Pardoux-le-Vieux (19) 1er : Roger Demartin
14/08 : 1er à Ardes-sur-Couze (63) devant Jean Planeix et Auguste Anzur
16/08 : 2ème à Vergongheon (43) 1er : Yvon Verne
19/08 : 3ème à Pérignat-ès-Allier (63) 1er : Michel Laurent
27/08 : 1er à Saint-Jiulien-Puy Lavèze (63) devant Marcel Ferri et Robert Mottet
04/09 : 2ème à Domérat (03) 1er : Jacky Denizon
09/09 : 2ème du « Thermogaz » à Saint-Eloy-les-Mines (63) 1er : Michel Laurent
10/09 : 2ème à Saint-Eloy-les-Mines (63)
11/09 : 1er du critérium du Cézallier à Marcenat (63) devant Gérard Fiacre et Yves Rault
17/09 : 3ème « Commerçants » à Thiers (63) 1er : Guy Seyve
18/09 : 2ème à Saint-Bonnet-près-Riom (63) 1er : Jean-Claude Baud
23/09 : 2ème à Cournon d’Auvergne (63) 1er : Guy Seyve
25/09 : 1er à Saint-Maurice-ès-Allier (63) devant Lucien Gonthier et Yvon Verne Il est dit 11ème victoire de la saison
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31/05 au 05/06 : 15ème de la Route de France
16 au 18/06 : 47ème de Paris-Saint-Pourçain
29/04 au 01/05 : 19ème Tour de la Corrèze
Service militaire novembre 1967/novembre 1968
1968 = AC Clermontoise
Le 07/08 : décès de François Ondet
1969 = AC Clermontoise
02/03 : 2ème interclub de Montferrand
23/03 : 2éme « ouverture » à Aurillac (15) 1er : Ferdinand Julien
07/04 : 4ème « Cornards » à Beaumont (63)
26/04 : 2ème à Ydes (15) 1er : Gérard Fiacre
26/05 : 1er à Saint-Amant-Tallende (63) devant Gérard Fiacre
08/06 : 2ème championnat d’Auvergne sur route 1er : Bernard Giraud
29/06 : 3ème à Saint-Setiers (19) 1er : Valentin Rigaud
30/06 : 2ème à Gerzat (63) 1er : Jean Prat
07/07 : 6ème championnat de France des sociétés avec P. Ravel, M. Grenier et Bd Giraud
13/07 : 1er à Gannat
14/07 : 2ème à Collandres (15) 1er Michel Grenier
26/07 : 3ème à Châteaugay (63) 1er : Yves Rault
27/07 : 2ème à Saint-Christophe-les-Gorges (15) 1er : Michel Grenier
28/07 : 2ème à Royat (63) 1er : Fernand Farges
03/08 : 1er à Messeix (63) devant Charles Vallet
14/08 : 1er à Gelles (63) devant Michel Grenier
16/08 : 1er à Miremont (63) matin devant le Normand Duhamel
16/08 : 1er à Herment (63) après-midi devant Michel Grenier
24/08 : 2ème à Saint-Amant-Roche-Savine (63) 1er : Yvon Verne
08/09 : 3ème « Antonin Reix » à Saint-Junien (87) 1er : Albert Peter
13/09 : 2ème « Sainte-Croix » à Bort-les-Orgues (19) 1er : Fernand Farges
14/09 : 2ème « Commerçants » à Thiers (63) 1er : Noël Geneste
23/09 : 3ème à Cournon d’Auvergne 1er : Charles Vallet
05/10 : 3ème à Saint-Angel (03) 1er : Norbert Montlaron
27/04-01/05 : Tour du Limousin avec ACC 1er du chrono par équipe Argentat/Tulle
19 au 24/05 : participe à la Route de France avec l’ACC
31/05 – 01/06 : 11ème Circuit des Monts du Livradois
20-22/06 : 34ème de Paris-Saint-Pourçain
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1970 : AC Clermontoise
08/03 : 1er interclub de Mozac (63)
30/03 : 1er « Cornards » à Beaumont (63) devant Paul Ravel
05/04 : 5ème « Carnaval » à Saint-Etienne (42)
20/04 : 5ème Trophée des Auvergnats du Tour 1er : André Champion
18/05 : 4ème à Saint-Amant-Tallende (63)
24/05 : 1er du « José Baëza » à Aydat
1er du chrono
1er de l’étape en ligne
07/06 : 1er championnat d’Auvergne des sociétés avec P. Ravel, A. Champion et Ch Vallet
28/06 : 3ème à Saint-Setiers (19) 1er : Charles Vallet
27/07 : 1er à Royat (63)
14/08 : 2ème à Gelles (63) 1er : André Champion
15/08 : 3ème à Dunières (43) 1er : Pierre Rivory
20/08 : 2ème à Montfaucon (4 »)
31/08 : 1er à Saint-Genès-Champespe (63) devant Jean-Marc Lamoure
21/09 : 3ème à Tauves 1er : Fernand Farges
26/09 : 1er à Aulnat (63) devant Lucien Gonthier
30/04-03/05 : 16ème Tour du Limousin
12-16/05 : 29ème de la Route de France
19-20/06 : 7ème Circuit des Monts du Livradois
1er de la 3ème étape
29-31/05 : participe au Tour du Roussillon
1er de la 1ère demi-étape
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1971 :
14/03 : 3ème interclub de Mozac 1er : Jean Planeix
12/04 : 1er « Cornards » à Beaumont devant Jean Planeix
25/04 : 3ème à Ydes 1er : Fernand Farges
01/05 : 3ème du « José Baëza » à Aydat 1er : Serge Poulhes
09/05 : 1er « Printemps » à Riom devant André Champion
30/05 : 3ème à Fontanières (23) 1er : André Champion
31/05 : 2ème à Saint-Amant-Tallende (63) 1er : André Champion
07/06 : 2ème « Trinité » à Guéret (2 ») 1er : Christian Bordier
28/06 : 1er à Gerzat (63) devant Jean-Claude Baud
11/07 : 1er à Collandres (15) devant Lucien Gonthier
02/08 : 3ème à Saint-Amandin (15) 1er : Martin Martinez
16/08 : 2ème à Vergongheon (43) 1er : Lucien Gonthier
22/08 : 3ème à Saint-Bonnet-de-Salers (15) 1er : Jean-Marc Lamoure
23/08 : 1er à Aigueperse (63) devant André Champion
05/09 : 3ème à Fournols (63) 1er : Paput
27/09 : 1er à Saint-Maurice-ès-Allier (63) devant Lucien Gonthier
04/10 : 1er à Saint-Rémy-sur-Durolle (63) devant Jean Lamon
05/10 : 3ème du « Chams Club » à Chamalières 1er : Robert Ducreux
15-16/05 : 2ème du chrono des Monts du Livradois